Rencontre avec… Emmanuel Bouchet / Emmanuel Bouchet Timepieces

Rencontre avec… Emmanuel Bouchet / Emmanuel Bouchet Timepieces

Rencontre avec… Emmanuel Bouchet

12 septembre 2017, Les Bayards, petit village rural du Val-de-Travers, 370 habitants et une manufacture horlogère. Celle d’Emmanuel Bouchet.

Emmanuel Bouchet est, pour moi, une vieille connaissance… Nous avons travaillé ensemble il y a une dizaine d’années.

Emmanuel a toujours été un touche-à-tout, et un expert en complications.

Innovation, c’est le mot qui me vient à l’esprit quand je pense à lui, il a notamment cofondé Centagora en 2008, mais là où il gagne en notoriété, c’est en mars 2012 en réalisant l’Opus 12 pour Harry Winston.

Fort de ce succès, il se lance en 2014 dans la production de ses propres garde-temps.

La Emmanuel Bouchet Complication One, présentée en novembre de cette même année au Salon QP de Londres est la première montre de la marque à voir le jour. Sa spécificité réside notamment dans un nouvel échappement au centre de l’affichage et qui permet de distribuer l’énergie à l’affichage toutes les 15 secondes.

Côté indication, trois compteurs « flottent » sur un cadran en Onyx

L’indication des heures se fait par une aiguille sur le cadran à huit heures. L’indication des minutes par deux aiguilles sur le cadran à quatre heures, une indiquant les dizaines (rétrograde) et l’autre, les unités, toutes en saut instantané à l’instant précis du passage de la seconde à midi. Cette seconde, qui elle, se promène sur un cadran placé à douze heures, celui-ci intégrant en même temps, une indication jour / nuit. Entre ces trois cadrans, trône l’échappement original, signature de cette pièce !

Ce mouvement est un calibre exclusif développé par Emmanuel Bouchet.

Remontage manuel, double barillet pour une réserve de marche de 70 heures.

Les ponts et platines sont fabriqués en laiton et maillechort, les finitions sont de très haut niveau. Sablage et anglages polis main. Les boites seront, aux choix, en  titane, or ou en platine, les cadrans en onyx, en calcédoine ou laqués.

Notons au passage que tout cela est 100% Swiss Made.

En 2017, on découvrait à Baselworld, la EB02. L’ADN de la marque est 100% conservé. On y retrouve la forme de la boîte de la Complication One, les cadrans suspendus et les aiguilles caractéristiques.

Le mouvement quant à lui est nouveau et provient de chez Vaucher Manufacture à Fleurier accouplé à un système de déviance des heures minutes et jour/nuit sous les secondes, celui-ci ayant été développé par MACLEF (société de développement d’Emmanuel Bouchet). Ce mouvement conserve lui aussi tout l’ADN de celui de la Complication One.

Sur le cadran, on retrouve les indications des heures et minutes à midi et petite seconde plus le  jour/nuit à sept heures.

Et la suite…   peut-on s’attendre à découvrir une Complication Two ?  Le futur nous le dira !

J’ai passé un super moment en compagnie d’Emmanuel. Il a vraiment été très transparent avec moi et j’ai encore une fois été frappé par les difficultés que doivent affronter ces indépendants.

Mes respects à ces artisans qui se battent pour vivre de leur passion et qui nous offrent des objets extraordinaires.

Merci Manu pour le temps que tu m’as accordé, et pour ta franchise lors de nos échanges.

Je te souhaite le meilleur pour la suite…

 

Liens relatifs à cette rencontre :

Emmanuel Bouchet :                                         www.emmanuelbouchet.com

Ma Clef :                                                                                       www.maclef.ch

Opus 12:                                                          www.harrywinston.com/opus-12

Vaucher Manufacture:                                         www.vauchermanufacture.ch

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Porsche Cayman 981 GT4

Porsche Cayman 981 GT4

Samedi 19 août 2017,

Mon ami Florent est de passage à Fleurier.

Florent est un ami porschiste. Il possède un magnifique Cayman GT4 que j’ai déjà eu la chance de rouler lors de notre visite de la Manufacture Jeager-LeCoultre avec le Club Porsche des Trois Lacs le 7 juin 2017. Il n’arborait pas encore ses couleurs « Martini ». Voir mon article ici.

Super expérience, mais je voulais faire un essai un peu plus complet, et surtout, une séance photos !

Voilà qui est fait en ce samedi ensoleillé dans la région du Val-de-Travers.

Florent étant également fan d’horlogerie et propriétaire de quelques belles pièces, nous échangeons certaines idées, et nous nous arrêtons sur le fait que nous nous équiperions de Chopard pour cet article. Nous voilà donc flanqués de nos chronos automatiques. De mon côté, une Mille Miglia de 2003 reçue pour mes trente ans, et du côté de Florent, c’est également une Mille Miglia, mais plus récente, de 2007, et surtout, une série limitée à mille pièces. Nous profiterons de cette séance photos faite à Fleurier pour prendre comme cadre, entre autres, la Manufacture Chopard. A 9h11.ch, on ne fait pas les choses à moitié !

Voilà, le côté horlogerie évoqué, nous pouvons nous concentrer sur le Cayman qui nous intéresse aujourd’hui.

Présentation :

Cayman GT4 de 2016. Version « extrême » de la gamme Cayman.

Flat-6 3.8 litres, d’origine 385cv et 420 Nm de couple, le tout passant par une boîte mécanique à six rapports. Notre voiture du jour s’est vu adjoindre quelques modifications d’admission qui lui offrent quelques chevaux de plus qui lui permettent de passer la barre des 400 cv soit exactement 403 cv… pour un poids contenu à 1340 kg…

A l’intérieur, sièges en carbone recouvert d’alcantara. Alcantara également sur le tableau de bord et levier de vitesses, lanière pour l’ouverture des portes dans le plus pur style « RS » ou « GT3 ». Tous les équipements de confort sont malgré tout au rendez-vous, clim, multimédia,…

Elle est dotée des phares dynamiques PLS (Porsche Light System), absolument génial à voir fonctionner la nuit !!

A son volant, une fois les touches « échappement sport » et « suspensions sport » enclenchées, nous sommes dans une vraie voiture de course. Les trains roulants proviennent de la GT3 et sont d’une efficacité redoutable. La voiture colle à la route. Le moteur prend presque 8’000 tours par minutes, le son du Flat-6 est fantastique. L’électronique gère même le petit coup de gaz au rétrogradage… fini le talon-pointe !!

Les sièges baquets en carbone et alcantara sont facilement réglables et très agréables. Seul point négatif ressenti, pour moi qui roule en Boxster la plupart du temps en mode ouvert, je me suis senti un petit peu enfermé en entrant dans ce Cayman, notamment dû à la bande de pare-brise qui descend assez bas.

Cette voiture est fabuleuse, facile et efficace, sur circuit ce doit être une vraie tueuse de chrono… Une sacrée réussite !!!

Merci à mon ami Florent pour cet essai et ce moment passé ensemble !! Merci à Claudia pour ses photos.

Liens relatifs à cet essai :

Porsche :                                                       www.porsche.ch

Chopard :                                                      www.chopard.fr

Club Porsche des 3 lacs :                             www.cp3lacs.ch

Sortie Club Porsche des 3 lacs:                     www.9h11.ch

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Rencontre avec… Eddy Burgener / Wilhelm Tell

Rencontre avec… Eddy Burgener / Wilhelm Tell

Je connais Eddy depuis une dizaine d’années. Il est président de l’Association de la Vielle Ville du Landeron. Cette association organise chaque année, entre autres, une rencontre de voitures classiques dans le vieux Bourg du Landeron (Neuchâtel). Le Landeron Classic auquel je participe chaque année en tant que bénévole. http://www.landeronclassic.ch

Eddy est designer et travail avec beaucoup de grand nom de l’horlogerie.

En 2016, il s’est lancé le défi de produire une montre 100% produite en Suisse à un prix défiant toute concurrence.

Il choisit le nom, on ne peut plus Suisse, de Wilhelm Tell. Wilhelm Tell étant le nom germanique de Guillaume Tell, personnage emblématique Suisse.

Automne 2017, soit une année et demi après que l’idée ait germée dans la tête d’Eddy, quatorze partenaires, tous issus de l’arc jurassien suisse, ont été mis en œuvre pour concrétiser ce projet.

Le design épuré rend la lecture de l’heure très facile, ce design a été en grande partie dicté par la technique employée pour réduire les coûts, soit une boîte entièrement décolletée. Ce qui ne l’empêche pas d’être réalisée en acier 316L et doté d’une glace en saphir.

Eddy embarque au passage son frère François, ancien directeur développement produit d’une grande marque horlogère et sa fille Ottavia enseignante en marketing et vente.

Ce team familial propose donc une montre entièrement réalisée en Suisse, en acier 316L, glace saphir et mouvement automatique. Elle sera proposée en quatre versions dès le 1er septembre 2017 et jusqu’au 1er octobre au prix de 379 Francs Suisses TVA et livraison comprises sur Kickstarter. Le prix normal passé ce délai sera de 498 Francs Suisses.

Quant à notre rencontre, nous avons passé un agréable moment dans les bureaux d’Eddy dans ce magnifique vieux Bourg du Landeron. J’en ai profité pour m’asseoir dans sa mythique MG Midget et nous avons fini la soirée avec une pizza en terrasse…  Que voulez-vous de mieux ??

Merci Eddy pour la découverte en détail de tes montres et ce sympathique rendez-vous. Je te souhaite plein succès dans cette belle aventure.

Le site officiel https://wiltell.ch/

Retrouverez le lien du Kickstarter ici.

Rencontre avec… Tim et Bart Grönefeld / Grönefeld The Horlogical Brothers

Rencontre avec… Tim et Bart Grönefeld / Grönefeld The Horlogical Brothers

26 juillet 2017, notre road trip familial d’été fait une halte à Oldenzaal en Hollande.

Pourquoi Oldenzaal me direz-vous ? Simplement parce que cette petite ville hollandaise d’un peu plus de 30’000 habitants et perchée à 37 mètres d’altitude abrite la manufacture des frères Grönefeld. Cette marque fait partie de ces marques indépendantes que j’adore. J’ai donc profité de notre déplacement dans le Nord pour planifier une halte dans cette province.

Préparant notre voyage, en date du 29 juin, je contact Tim et Bart en leur expliquant que je serai de passage dans leur ville les 26 et 27 juillet. Le lendemain matin, je reçois une réponse de leur part, tintée d’humour comme on pouvait s’y attendre, les deux frères ne loupent pas une occasion de rigoler…   « Wow! You’re going to Oldenzaal ?!?!?! Not many people do 😉 »  Traduisez : « Quoi ? Vous venez à Oldenzaal ???   Peu de gens font cela 😉 » Le rendez-vous est pris pour le 27 juillet au matin.

Le 26 au soir, après le repas, nous nous baladons en famille dans cette magnifique ville et tombons par hasard sur les deux frères devant leur maison. Nous discutons quelques mots et laissons Tim et Bart à leurs occupations du soir, nous nous voyons le lendemain…

Après une nuit pas mal agitée, la place de la ville était ce soir là, la place où il fallait être… pour faire la fête, pas pour dormir, nous parcourons les 300 mètres qui séparent notre hôtel de la manufacture pour arriver chez les frères Grönefeld à 9h30 comme prévu.

Nous sommes accueillis par Tim et Bart dans la maison qui abrite leurs ateliers et autres bureaux.

Nous sommes reçus au rez-de chaussé avec le café, et de notre côté, nous avions amené quelques produits suisses, chocolats sous divers formes et de la bière de chez nous…

Tim et Bart nous expose l’histoire familiale, père et grand-père horloger. Les deux frères suivent à peu près le même cursus. Ecole d’horlogerie en Hollande et perfectionnement au Wostep à Neuchâtel, passage chez Renaud-Papi et Greubel-Forsey avant de rentrer au pays pour fonder leur propre marque. Nous évoquons aussi un peu l’automobile, Bart possédant un Porsche Cayenne S Hybrid et les deux frères ex-motard qui roulaient en Ducati, recherchaient une voiture leur procurant des sensations proches de la moto… ils se sont arrêtés sur une AC Cobra…

Revenons à nos affaires horlogères et partons en visite…

Nous découvrons les différentes pièces de cette très belle maison. Au premier étage, une pièce abrite le polissage et divers décorations, l’autre, le local de lavage, la troisième, les bureaux, nous trouvons également une salle de pause avec machine à café évidemment. Le deuxième étage est réservé à l’atelier d’assemblage.

Nous voilà au cœur de la marque. Les montres sont pensées par Time et Bart qui dessinent leur croquis avec précision y compris les gabarits. C’est par contre en Suisse que tout se fait, la conception technique, la fabrication des composants. Certains d’ailleurs de ces composants sont, fabriqués dans ma rue à Fleurier… ou juste à côté à Saint-Sulpice (NE)…

Une fois les composants reçus dans leurs ateliers, les horlogers hollandais multiplient les opérations de finitions pour que tout soit parfait, polissage des vis, décoration et polissage des ponts,… et assemblage évidemment !

Tim et Bart ne voulant pas faire de côtes de Genève en Hollande décidèrent de personnaliser leur mouvement par une finition des ponts style micro-billée (au laser) du plus bel effet sur des ponts en acier inoxydable évitant ainsi tout traitement de surface.

Une cinquantaine de montres sont produites chaque année dans leurs ateliers.

Quatre modèles sont au catalogue aujourd’hui, le premier de la marque la Parallax Tourbillon issu d’une collaboration avec Christophe Claret, la One Hertz, les Bespoke Series et Remontoir qui partagent le même fantastique mouvement « remontoir ».

Une bien belle visite « en famille » chez ces horlogers du Nord.  Un immense merci pour votre accueil et pour le temps que vous nous avez consacré. En espérant vous revoir bientôt lors des différents salons horlogers ou lors d’une de vos prochaines visites en Suisse…

Ronde des Alpes 2017, les 15, 16, 17 et 18 juin. Organisation FRF.

Ronde des Alpes 2017, les 15, 16, 17 et 18 juin. Organisation FRF.

Mes amis Frosio, Racine et Ferrante organisent chaque année, une très belle sortie dans les Alpes.

Le programme de cette édition 2017 semble très sympa. Au menu, environ 1300 km et une trentaine de cols. Treize équipages au départ, des Porsche évidemment, mais pas que… une Golf 1 GTI, une Ford Sierra Cosworth (seul équipage entièrement féminin), une BMW Z3 , une Mercdes SL500 et une Mazda MX-5 à compresseur… !!

Le départ officiel de la Ronde des Alpes est prévu le jeudi 15 juin au matin à Chambéry (F).

Mercredi 14 juin, 14h00, mon ami JC arrive à la maison avec son Boxster GTS rouge…

Comme à son habitude, il me passe les clés et prend la place du co-pilote !!!…   ça s’annonce bien !

Je charge mes affaires et nous voilà partis direction Chambéry.

Fleurier – Chambéry, un peu plus de 200 km. Nous prenons la pluie à Lausanne et devons re-capoter en urgence au bord de l’autoroute. Heureusement ce Boxster se ferme en roulant en dessous de 50 km/h, donc, frein, passage sur la bande d’arrêt d’urgence pour ne pas perturber la circulation, fermeture en 9 secondes sans s’arrêter, et re-départ dans le flux.

Arrivée à Chambéry, certains sont déjà là, ils sont partis le matin. Nous prenons possession de nos chambres et rejoignons les autres pour un rafraîchissement. Avant le souper, distribution des autocollants et divers accessoires publicitaires.

Tout le monde s’affaire donc à « décorer » sa voiture avec les différents autocollants. Sympathique moment où chacun va voir et donne un coup de main à son voisin.

Voilà, les voitures sont prêtes. Maintenant, il est temps de s’occuper des équipages… repas, douche, dodo. On a de la route demain…

 

Jeudi 15 juin, 7h00 debout, petit déjeuner et briefing à 8h00. Remise du road-book et explication de l’étape du jour.

Etape N°1 : Chambéry – Die, environ 380 km et 8 heures de route.

Au programme, entre autres :

Col du Granier (1134m), Col du Curcheron (1139m)

Col de la Croix (722m), Col de la Bataille (1450m)

Col de Limouches (1086m), Col de Bacchus (980m)

Col de Rousset (1254m), Col de la Machine (1011m).

Dîner pique-nique vers 12h00 à l’ombre en forêt.

Chacun roule à son rythme, chacun s’arrête quand il le veut pour un café, faire des photos ou autre. Il nous arrive donc, au cours de la journée, de passer devant nos collègues qui sont sur une terrasse, de nous arrêter ou non. Ou de les voir passer si nous sommes arrêtés.

Fin d’après-midi, arrivée à Die, parcage des voitures un peu scabreux pour certain, l’endroit ne se prête pas très bien aux voitures basses.

Passage à la piscine pour les uns, début d’apéro pour les autres, nous nous retrouvons tous pour le souper. Puis, balade en ville de Die et Clairette (incontournable) sur la place du village…

 

Vendredi 16 juin, 7h00 debout, petit déjeuner, briefing sur l’étape du jour et départ à 8h00.

Etape N°2 : Die – Embrun, environ 400 km et 8h30 de route.

Au programme, entre autres :

Un Dafalgan pour votre serviteur, la Clairette ayant bien fait son effet,

Col de Reychasset (1052m), Col de Grimone (1318m),

Col de la Croix Haute (1179m), Col d’Allos (2274m),

Col des Champs (2045m), Col de la Cayolle (2326m) Col de Vars (2109m).

Dîner pique-nique vers 12h00 au sommet du col d’Allos.

Dans l’après-midi, nous avons même réussi à croiser un de nos copains porschiste au bas du col de la Cayolle…  notre ami Patrick faisait la route des grandes alpes ce jour-là !!!

Fin d’après-midi, apéro en haut du Col de Vars. Puis cap sur Embrun.

Magnifique hôtel et Spa. (La Robéyère)

Un coup de piscine, un coup de jacuzzi et il est l’heure de se retrouver pour le repas.

Pas de folies ce soir-là, nous avons besoin de repos.

 

Samedi 17 juin, 7h00 debout, petit déjeuner, briefing sur l’étape du jour et départ à 8h00.

Etape N°3 : Embrun – Chamonix Mont Blanc, environ 370 km et 8 heures.

Au programme entre autres :

Col d’Izoard (2360m), Col du Lautaret (2058m)

Col du Galibier (2646m), Col du Télégraphe (1566m)

Col de l’Iseran (2770m), Cormoret de Roseland (1967m),

Col de Meraillet (1605m), Col des Saisies (1650m)

Dîner pique-nique vers 12h00 au sommet du col de l’Iseran à 2770 mètres d’altitude, c’est le seul moment de notre périple où nous avons sorti les vestes…

Fin d’après-midi, arrivée à Chamonix, très bel hôtel, Mercure Chamonix Les Bossons. Un peu de peine à avoir nos chambres, l’hôtel s’étant planté de leur organisation… un peu de tension à la réception, mais tout es bien qui finit bien…

18h00, apéro sur le parking, et déplacement en taxi au centre-ville de Chamonix pour le repas à la Calèche.

Retour vers minuit à l’hôtel.

 

Dimanche 18 juin, grâce matinée…. Levé à 7h15 ! Petit déjeuner et départ vers 8h15.

Etape N°4 : Chamonix – Col des Mosses, environ 140 km et 3 heures de route.

Au programme entre autres :

Col des Montets (1461m), Col de la Forclaz (1526m)

Col de la Croix (1726m), Col des Mosses (1445m).

Arrivée au col des Mosses vers 11h30. Photos de groupe, discussions, premières impressions,…

Mot de la fin des organisateurs, serrage de mains, bisous et retour à la maison.

Conclusion :

Précisément 1510 kilomètres (de Fleurier à Fleurier) parcourus en quatre jours et demi, une organisation au top, un road-book presque parfait, des gens formidables, des hôtels pas mal et des très biens, de bons repas, de chouettes apéros. Croisé un pote à 470 km de chez toi. Des paysages à couper le souffle, des routes sinueuses à souhait, des terrasses ensoleillés, des glaces rafraîchissantes, des cyclistes en veux-tu, en voilà, des motards, du soleil, de la neige, on en a pris plein les yeux… et les oreilles !!!

Un très grand merci à mon ami JC pour son invitation, un très grand merci également aux organisateurs pour leur travail !

A l’année prochaine ?…