A 9h11.ch, on est plutôt spécialisé en Porsche, mais sommes ouverts à tout autre beauté mécanique… Cette semaine nous mettons en lumière, une belle américaine !!

C’est la deuxième fois que j’ai le plaisir de conduire cette superbe Corvette C7.

Lors de mon premier démarrage de la bête, soit, excusez du peu, le V8 6.2 litres de 466 cv et 630 Nm de couple, un gros vrombissement s’échappa des échappements.

Ensuite, dès que j’ai pris la route, j’ai eu un sentiment de frustration très fort… Les échappements amortissent toute la musique…  quelle déception !!  Les routes ce jour-là étaient très humides, et nous avons roulé à allure raisonnable. Je me décidais tout de même à toucher le bouton magique, celui qui mène au mode « sport ». Quelle bonne idée ! Une fois celui-ci enclenché, c’est une symphonie qui sort des 4 tubes à l’arrière de cette américaine… Voilà qui change tout !!!

Pour l’essai du jour, le mode « sport » sera enclenché d’office !!

Nous voilà donc à nouveau au volant de cette Corvette C7 de 2014 et sa boîte de vitesse mécanique à sept rapports.

Cette voiture est moderne, bien finie, je me sens un peu petit à son volant, elle est large, le capot est interminable, on ne voit rien à l’arrière. A contrario, je me trouve un peu coincé dans cet habitacle ou malgré mon petit gabarit, je n’ai pas de place pour passer mes bras, le gauche est en buté sur la portière et le droit sur la console centrale, surement très reposant pour faire 3 heures de ligne droite sur une Highway américaine à 88 miles/hour, mais pas très pratique pour nos petites routes de montagnes sinueuses…

Les accélérations sont impressionnantes, le son du V8 en mode sport est jute fantastique. Il faut juste faire attention, car le train avant a tendance à devenir très léger lorsque les chevaux commencent à arriver en nombre…

La boîte mécanique à sept rapports se prend en main aisément, mais le passage vers le septième rapport n’est pas encore ancré dans mes habitudes, et en redescendant, il est facile de passer de la 7 à la 4, en loupant les 6 et 5 !

Le freinage est à la hauteur des performances de la bête, et que dire de cette ligne dans cette livrée rouge.

Seules entorses à l’origine, quelques pointes de noir que la propriétaire à fait faire (rétroviseurs et aileron arrière qui de série sont rouges) ainsi que les jantes noires.

Une bien belle et impressionnante voiture, un son magnifique, c’est le genre d’engin auquel on pourrait  s’attacher…

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